jeudi 8 novembre 2012

Faut rigooglé


Un petit coyote qui aurait sans doute mieux fait de rester couché, mais avec 150 de QI c'est dur de garder ses neurones au repos.Faudrait juste trouver d'autres passe-temps je pense....


Article tiré du site TF1, mais y en a d'autres ailleurs.
Tous mettent en avant le Qi du gosse mais aucun ne peut vraiment dire ce qu'on lui reproche...Amusant.

Le procès d'un jeune hacker, surdoué de l'informatique



Un autodidacte de 20 ans est poursuivi jeudi en correctionnelle à Amiens, soupçonné d'avoir mis au point un virus ayant affecté 17.000 smartphones. Le préjudice serait de plus de 500.000 euros.
Pour les policiers, c'est un véritable "petit génie de l'informatique". Un jeune homme sans emploi est jugé jeudi devant le tribunal correctionnel d'Amiens pour "piratage et escroquerie". Selon une source judiciaire, il encourt une peine pouvant aller jusqu'à cinq ans de prison.

Depuis 2011, cet hacker de 20 ans est soupçonné d'avoir mis au point un virus à destination de smartphones fonctionnant avec le système d'exploitation de Google, Android. Il mettait à disposition des logiciels gratuits à télécharger qui, sans que l'utilisateur ne s'en rende compte, composait des numéros de téléphone surtaxés. Les utilisateurs recevaient alors des SMS contenant des codes qui permettaient, à leur tour, des micro-paiements via des sites piratés. 17.000 téléphones auraient été affectés. Montant du préjudice : plus d'un demi-million d'euros.

"Ça m'a pris une heure"
Dans un entretien publié le 21 octobre dans Le Courrier Picard, le jeune homme a affirmé n'avoir "pas conscience des risques". "Pour moi, les gens qui téléchargeaient les applications que j'ai copiées étaient dans l'illégalité. Elles sont payantes et ils les obtenaient gratuitement sur des sites illégaux", a-t-il expliqué au quotidien. "J'étais au lit, et j'ai eu cette idée. Je n'avais jamais travaillé sur Android. Je suis allé à mon PC et je l'ai fait. Ça m'a pris une heure", a poursuivi le surdoué de l'informatique, crédité d'un QI de 150.

Le jeune homme a été placé sous contrôle judiciaire, dans l'attente de son jugement. "Il n'y a pas de partie civile", a indiqué une source judiciaire, selon laquelle cela peut s'expliquer, concernant les particuliers, par le fait que les victimes sont "éparpillées". "Pour l'instant, les opérateurs ne se sont pas non plus constitués partie civile", a ajouté cette source.

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